Vaccins – des faits occultés

par

dans ,

par Antoine CLAMAGIRAND, Délégué régional, candidat investi aux prochaines élections législatives à Vannes (2026 ou 2027)


En 1986, un enfant âgé d’un an recevait 3 injections de vaccin.
En 2025, ce nombre est passé à 29.

Pfizergate Sarah KNAFO vote pour la transparence

Le Pfizergate : le plus gros scandale de l’histoire de l’UE (35 milliards d’euros pour 1,8 milliard de doses de vaccin Covid négociés en secret par SMS entre Ursula et Bourla) n’intéresse pas les Macronistes, les Écologistes, les socialistes et les Mélenchonistes.

Vaccination Covid-19 : la Cour de justice de l’UE précise le rôle du médecin prescripteur

Source : https://curia.europa.eu


La Cour de justice de l’Union européenne a rappelé que l’autorisation de mise sur le marché d’un vaccin permet sa vente dans l’Union, mais n’impose aucune obligation de vaccination aux médecins ou aux patients. Elle a aussi confirmé que toute administration de vaccin nécessite une prescription médicale, ce qui n’a jamais été fait pour les millions de doses injectées. Cette absence d’ordonnance rend les vaccinations contraires au droit et pose la question de la légitimité des obligations vaccinales et des actes médicaux réalisés.

Concernant le bouclier pénal des professionnels de santé, il ne s’applique que si le traitement est administré conformément aux autorisations et à une évaluation médicale adaptée. Or, l’absence de prescription et le non-respect des protocoles (doses, délais) pourraient engager la responsabilité des médecins vaccinateurs pour faute.

Les juges nationaux devront tenir compte de ces principes dans les affaires encore en cours, notamment celles des soignants suspendus ou radiés. La CJUE a réaffirmé que les médecins doivent apprécier individuellement l’opportunité d’une vaccination, conformément aux documents d’autorisation. Dès lors, toute règle nationale contraire est inapplicable car illégitime.

Le vaccin contre la Covid n’a jamais arrêté la transmission.
Les vaccins Covid n’ont jamais été testés sur la transmission ni sur les formes graves

Dr Michel de Lorgeril chercheur CNRS : « Les vaccins Covid n’ont jamais été testés sur la transmission ni sur les formes graves ».

Les vaccins sont le facteur de risque Dominant de l’autisme

Source : https://zenodo.org/records/17451259


« Les vaccins sont le facteur de risque DOMINANT de l’autisme. Nous avons trouvé 107 études établissant un lien entre les vaccins et l’autisme et les troubles neurodéveloppementaux.
Les 12 études comparant les enfants vaccinés et non vaccinés ont révélé que les enfants non vaccinés sont BEAUCOUP plus sains, avec un risque d’autisme considérablement plus faible. »

Le vaccin contre la grippe tue des gens

« Le jour le plus meurtrier du vaccin contre la grippe est le jour zéro. Les données montrent une augmentation catastrophique de centaines de décès, un signal plus grave que celui des vaccins contre la COVID. Steve Kirsch pose la question suivante : « Nous savons que le vaccin contre la grippe tue des gens. Les données sont claires. Alors pourquoi les recommandations universelles continuent-elles ? »

Le vaccin grippe augmente le risque d’attraper la grippe !

Source : https://t.co/b1nIYFT1mF

Selon l’étude, sur 53.402 employés d’un hôpital américain, 43.857 – soit 82,1% – ont reçu une injection de vaccin contre la grippe pour la saison 2024-2025. « Ils ont tous été suivis 25 semaines et 1.079 personnes (2,02%) ont rapporté une grippe confirmée par PCR.

Ils furent autant à avoir la grippe entre les vaccinés et les non-vaccinés dans les phases précoces de l’épidémie, puis davantage chez les vaccinés que les non vaccinés à la fin de l’étude », analyse Antoine Flahault.

« Ainsi, au final le risque de contracter la grippe était accru de 27% chez les vaccinés par rapport aux non-vaccinés », ajoute-t-il.

UK, 90% des soignants refusent de se faire vacciner

Les médecins et les infirmières au Royaume-Uni refusent désormais de se faire vacciner après avoir constaté eux-mêmes les effets du vaccin COVID… 90% d’entre eux choisissent désormais de ne pas se faire vacciner plutôt que de risquer les effets secondaires qui changent leur vie…

La structure d’incitation a été inversée

En 1986, un enfant d’un an a reçu 3 injections de vaccin. Aujourd’hui, ce nombre est monté en flèche à 29. Cette augmentation exponentielle ne s’est pas produite dans le vide ; elle s’est produite au sein d’un système délibérément conçu pour éliminer la responsabilité des entreprises et la surveillance critique.

Comme souligné dans une discussion récente, le cœur du problème est une divergence fondamentale dans la façon dont les produits sont réglementés. Pour les produits pharmaceutiques, les entreprises font face à des répercussions financières et juridiques massives pour des produits dangereux. Cela nécessite des essais rigoureux, à long terme, contrôlés par placebo.

Mais pour les vaccins, le paysage est entièrement différent.

Comme le souligne souvent l’expert juridique Aaron Siri, la loi de 1986 sur le vaccin national contre le traumatisme infantile a créé un changement de paradigme. Les fabricants de vaccins ont reçu un bouclier critique : ils ne seraient plus responsables des blessures causées par leurs produits.

Cela a tout changé. La structure d’incitation a été inversée.

Sans la menace de recours collectifs ou de réclamations en responsabilité du fait des produits — les principaux moteurs de la responsabilité des entreprises dans toutes les autres industries—quel genre d’essais de sécurité ont été menés ?

La réponse, comme détaillé dans de nombreuses analyses, est des essais qui sont profondément inadéquats :

– Durée : Jours ou semaines d’examen de sécurité.

– Conception : Pas de véritables contrôles placebo.

– Échelle : Nombre d’enfants insuffisant pour détecter des effets indésirables plus rares et à long terme.

Depuis 40 ans, cette industrie fonctionne pratiquement sans opposition significative. Lorsque votre voiture ou un siège d’auto pour enfant présente un défaut, vous en entendez parler à cause d’une action en justice massive. Ce signal est réduit au silence pour les vaccins.

Alors, qui surveille le navire ?

Les deux gardiens traditionnels de la sécurité publique sont tous deux compromis :

  1. Le système juridique : Les avocats en recours collectif ont été entièrement neutralisés par la loi de 1986.
  2. Les agences fédérales de la santé : Ces organismes sont pris dans un conflit d’intérêts irréconciliable. Ils sont chargés à la fois de promouvoir la vaccination et de défendre les vaccins dans le cadre du Programme d’indemnisation des victimes de vaccinations (VICP) du gouvernement. Ils sont, en effet, le cheerleader et le juge pour le même produit.

Le résultat est un système qui fonctionne sur la pure dynamique économique et bureaucratique. Les entreprises pharmaceutiques, comme toute bonne entreprise, font la promotion de leurs produits par le biais d’intermédiaires de confiance. Il n’y a pas de conspiration—seulement un système qui fonctionne exactement comme prévu, avec des conflits d’intérêts intégrés à sa base.

Comprendre ce cadre — l’absence de responsabilité, les essais affaiblis, le système juridique neutralisé et les organismes de réglementation conflictuels —est essentiel pour démystifier les quatre dernières décennies de politique vaccinale. Ce n’est pas une question de science ; c’est une question de structure.

Cassidy Baraka avait 7 ans

Cassidy Baraka avait 7 ans, elle a reçu son vaccin et a réagi en 5 mnts. Elle a vomi pendant 8 à 10 h. Elle est décédée des suites de sa deuxième injection contre la Covid. La mention figurant sur son acte de décès, indique qu’elle est décédée du …Covid

L’ARNm n’est pas un vaccin, mais une plateforme expérimentale de modification génétique

Sous serment devant le comité sénatorial, le Dr Robert Sullivan confirme : « La technologie de l’ARNm n’est pas un vaccin, mais une plateforme expérimentale de modification génétique… »

Pfizer : Jusqu’à 500 fois la quantité d’ADN résiduel acceptable

Le «vaccin» COVID-19 de Pfizer injecté dans des milliards de bras n’était pas le même que celui utilisé dans les essais cliniques de Pfizer. Il y a eu un «changement», explique le Dr Ryan Cole.

Les essais cliniques ont testé le «Processus 1» tandis que le public a reçu le «Processus 2». Et ce qu’ils ne vous ont jamais dit, c’est que le «Processus 2» n’a été testé que sur environ 252 personnes, au lieu de 40 000. Ils ne vous ont pas non plus dit que les flacons étaient contaminés par de l’ADN plasmidique.

Une étude de Kevin McKernan et ses collègues a trouvé «la présence de milliards à des centaines de milliards de molécules d’ADN par dose dans ces vaccins. En utilisant la fluorométrie, tous les vaccins dépassent les directives pour l’ADN résiduel fixées par la FDA et l’OMS de 10 ng/dose de 188 à 509 fois.» En termes simples, ce n’est pas 500 %, c’est jusqu’à 500 fois la quantité d’ADN résiduel acceptable.
Entretien complet : https://bit.ly/Ryan_Cole

Vaccin Covid et cancer, trois cent mille cas testés

2 études, une italienne portant sur 300000 cas https://researchgate.net/publication/395034867_COVID-19_vaccination_all-cause_mortality_and_hospitalization_for_cancer_30-month_cohort_study_in_an_Italian_province et une sud-coréenne portant sur 8 millions de cas exposent des études épidémiologiques rapportant une augmentation des cancers chez les vaccinés (+37%) de plus chez les vaccinés en Corée, le plus inquiétant est l’augmentation des cancers du pancréas (+157%) chez les personnes ayant eu 2 injections. https://biomarkerres.biomedcentral.com/articles/10.1186/s40364-025-00831-w

Les vaccins ADN et ARN sont tous deux en cause.

Par ailleurs, une étude rapporte la présence de l’ADN vaccinal intégré dans une cellule tumorale et une autre l’expression de la protéine Spike dans une métastase https://jdsjournal.com/article/S0923-1811(25)00180-X/abstract Ceci après un suivi d’un an, ce qui était indétectable dans les études brèves comme celles réalisées dans le covid sous la pression de Gates et de l’OMS.

Plusieurs études ont montré la présence de DNA à niveau élevé dans les vaccins RNA qui suggèrent une intégration facile dans le noyau des cellules. Ces études doivent être reproduites, c’est facile pour les cancers du pancréas et pour les pays qui ont des registres de soins exhaustifs comme le Danemark.

La protéine Spike est produite dans tout le corps, de la tête aux pieds.
Ceux qui ne prennent aucun vaccin ni médicament, n’ont pas d’autisme

Antoine CLAMAGIRAND,
Délégué régional
Candidat RECONQUÊTE investi aux prochaines élections législatives du Morbihan

www.clama.bzh

[related_posts_by_tax title= »Articles de la catégorie » tax= »category » include_terms= »santé » include_children= »false » limit_posts= »55″ relation= »AND »]


Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *