Recommandée chaque année pour les personnes les plus vulnérables, la vaccination contre la grippe n’est pas obligatoire. Mais elle pourrait le devenir par la volonté du gouvernement LECORNU et de M. Macron.
par Antoine CLAMAGIRAND, Délégué régional, candidat investi aux prochaines élections législatives à Vannes (2026 ou 2027)
L’obligation vaccinale contre la grippe des professionnels de santé avait été suspendue par décret en 2006 sous le gouvernement de Dominique de Villepin alors que Xavier Bertrand occupait le poste de ministre de la Santé. La vaccination contre la grippe demeure minoritaire parmi les professionnels de santé en France.
Le 11 juillet 2025, Mme Anne LE HÉNANFF (Horizons, le parti macroniste d’Edouard Philippe) – contre laquelle je me présente dans la 1ère circonscription du Morbihan – a présenté une « Proposition de loi » n°1722 visant « à rétablir l’obligation de vaccination contre la grippe pour les professionnels de santé et à permettre son remboursement pour tous ».
Discuté depuis le 27 octobre 2025, à l’Assemblée nationale, en commission, le projet de loi de financement de la Sécurité prévoit une mesure particulière : à l’avenir, le gouvernement souhaite que la vaccination contre la grippe devienne obligatoire pour tous les soignants, en ville comme à l’hôpital, mais aussi pour tous les résidents d’Ehpad.
J’aurais voté contre ce projet sans franchir la ligne en matière de libertés publiques, alors même que le vaccin n’est pas sans alternatives. Le vaccin contre la grippe doit être reformulé chaque année selon les souches en circulation, et son efficacité varie beaucoup (souvent entre 40 % et 60 %). Il ne garantit donc pas une protection suffisante pour justifier une obligation.
Les tribunaux américains confirment le lien entre les vaccins contre la grippe et le syndrome de Guillain-Barré, une maladie pouvant entraîner la paralysie. Ainsi, non seulement les vaccins contre la grippe ont une efficacité négative et toute une série d’autres effets secondaires insoupçonnés, mais ils peuvent aussi vous paralyser.
Le 29 octobre 2025, les députés ont adopté en commission des Affaires sociales la création d’une base légale à une obligation de vaccination contre la grippe pour les résidents d’Ehpad et certains professionnels de santé. Cette mesure fait partie du projet de budget de la Sécurité sociale pour 2026.
L’intégralité des partis politiques ont voté pour l’article du PLFSS qui crée L’OBLIGATION vaccinale, en Commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale ! LR, PS, Macronistes, Verts, LFI et RN ont tous voté pour l’obligation, « banalisée » contre la grippe.
Le député socialiste Jérôme Guedj s’est lui félicité de « la banalisation de l’obligation vaccinale pour les soignants », après « un long chemin ».
La formulation du texte reste prudente : il s’agit de créer « une base légale pour d’éventuelles nouvelles obligations vaccinales contre la grippe ».
J’aurais voté contre, conformément à la primauté du consentement libre et éclairé et le refus de tout chantage à l’emploi sur la base d’un choix de santé.
La mesure prévoit également que « sous réserve d’une recommandation » de la Haute Autorité de santé (HAS), la vaccination contre la grippe soit obligatoire pour les personnes résidant en Ehpad « pendant la période épidémique ». Soit de novembre à avril.
Le dispositif ne concerne donc « pour l’instant » ni la population générale, ni la vaccination contre le Covid, mais pourrait vite s’étendre grâce au MEDEF qui considère les salariés comme des otages de cette obligation à l’encontre du code de santé publique.
D’après Santé Publique France, en janvier 2025, seul 19% du personnel hospitalier de l’AP-HP était vacciné.
Cette proposition est contraire « à la liberté individuelle des résidents et contre le code de la santé publique« .
De son côté, la Fédération nationale des associations de personnes âgées en établissements et de leurs familles (FNAPAEF) « ne soutient pas » ce projet, assure sa présidente Françoise Gobled, invitée de franceinfo. Selon elle, cette proposition est contraire « à la liberté individuelle des résidents et contre le code de la santé publique« .
Françoise Gobled plaide pour informer plutôt que contraindre : « Obtenir le consentement de la personne est très important« , « on peut aussi leur expliquer que s’ils ne veulent pas se faire vacciner, au moindre rhume, à la moindre poussée de fièvre, ils seront en chambre et ne pourront pas participer aux activités« . La présidente de la FNAPAEF regrette qu’il y ait « très peu de médecins coordonnateurs » dans les maisons de retraite, censés accompagner les résidents dans leurs démarches médicales.
De quel droit traite-t-on les résidents en EHPADs comme des sous-citoyens qui n’auraient plus de droit au consentement (sauf quand les mêmes veulent faire voter le droit à mourir, sans remarquer la contradiction)?
La vaccination contre la grippe obligatoire pour les résidents et soignants d’Ehpad entrera en vigueur si les parlementaires la votent mais aussi si la Haute autorité de Santé, organe scientifique indépendant, donne également son feu vert.
Une méthode discriminante « en marche »
Catherine Vautrin éphémère ancienne Ministre de la Santé (pendant 10 mois entre 2024 et 2025) du gouvernement Bayrou (et actuelle Ministre des Armées du gouvernement Lecornu II), avait déclaré dans Le Monde le 26 juillet 2025 : « Les résidents d’Ehpad sont aujourd’hui vaccinés contre la grippe à hauteur de 85% ». Un score qu’elle souhaitait faire rapidement progresser. Selon elle, il reste «au moins dix points supplémentaires de taux de vaccination » à atteindre. « Pour cela, je souhaite que la vaccination devienne obligatoire pour les personnes âgées en établissement », déclare-t-elle alors.
Le MEDEF fabrique des salariés-otages
Trois mois plus tard, on apprenait dans un article de La croix (26 octobre 2025), que le MEDEF demande l’extension à tous les salariés de France en généralisant la vaccination en entreprise, notamment pour la grippe. Prenant ainsi les salariés en otage en prévoyant des sanctions en modulant la prise en charge des indemnités journalières et des compléments de salaires » ! « Selon cette mesure, faute d’être vacciné quand on est contaminé, un salarié pourrait donc ne plus recevoir d’indemnités journalières » !
Commencer avec les soignants et résidents d’Ehpad. Ce n’est qu’un début
Le 30 octobre 2025, en commission des affaires sociales les députés ont voté ARTICLE 20 du projet de loi de financement de la sécurité sociale, rendre la vaccination obligatoire contre la grippe (ou la rougeole pour les personnels de petite enfance) pour les soignants et les résidents d’Ehpad à l’initiative de la ministre de la santé Stéphanie Rist, en poste depuis le 12 octobre 2025, au sein du gouvernement Lecornu II. Derrière ça Il y a l’idée de fourguer des vaccins ARNm extrêmement controversés depuis les injections anti Covid.
Si la décision est votée, elle pourra être étendue par décret à d’autres catégories de population et surtout l’étendre à des vaccins combinés grippe/Covid sous la nouvelle technologie d’ARN Messager qui a fait des dégâts considérables avec des effets secondaires extrêmement grave miocardite, AVC, turbocancer…
Source : https://bam.news/covid-le-sls-alerte-sur-la-responsabilite-des-vaccinateurs
C’est un appel solennel et confraternel que le Syndicat Liberté Santé lance à tous les professionnels de santé. Il les enjoint à réfléchir à leur responsabilité déontologique face à des produits expérimentaux, associés à de nombreux effets indésirables et dont l’efficacité n’est pas démontrée. Une conversation que chacun peut avoir avec son médecin ou son pharmacien, en lui apportant une copie de la lettre ouverte du SLS.
La campagne hivernale de vaccination vient d’être lancée dans différents pays européens. Cependant, comme le rappelle le SLS, l’efficacité des produits injectés n’a pas été démontrée par les laboratoires, tandis qu’elle est contestée par des études scientifiques rigoureuses[1]. Une étude de Pfizer remise à la FDA reconnaît d’ailleurs que l’incidence du Covid‑19 a augmenté de façon générale dans les groupes de l’étude après vaccination avec Comirnaty, avec une augmentation moyenne de 300%[2].
« La sécurité du vaccin Covid‑19 est, quant à elle, sérieusement remise en question par des chiffres alarmants d’effets indésirables, des témoignages de victimes, ainsi que par de récentes études à grande échelle » précise le SLS[3]. Rappelant que le premier devoir des soignants est de ne pas nuire, il les invite donc à bien réfléchir aux responsabilités déontologiques qui leur incombent. Défendant un soin centré sur la relation entre le médecin et son patient, une information claire, loyale et un consentement libre et éclairé, le SLS souligne enfin que le médecin est le maillon fondamental de la confiance.
Voici un extrait de cette lettre: « Participer à cette campagne, dans ces conditions, c’est cautionner une politique sanitaire qui a largement manqué à ses obligations fondamentales de sécurité et de transparence. C’est aussi risquer de compromettre la relation de confiance avec vos patients et votre intégrité professionnelle.
La Médecine se doit d’être indépendante et refuser l’immixtion dangereuse de l’État et de l’industrie pharmaceutique dans votre relation avec vos patients, incompatible avec la déontologie médicale.
Le Syndicat Liberté Santé vous invite donc à la réflexion sur les implications éthiques et en termes de santé publique concernant la campagne de vaccination hivernale.
Le SLS reste à vos côtés pour vous accompagner, vous conseiller et vous défendre face à toute tentative de sanction ou de pression arbitraire destinée à vous détourner de votre vocation : le Soin Éthique et respectueux des patients ».
Vous pouvez retrouver l’intégralité de cette lettre ouverte aux professionnels de santé sur le site du SLS, ainsi que toutes les sources scientifiques:
KAro pour BAM!.
[1] Berliner ZeitungBerliner Zeitung Thema: Politik – Nachrichten und Informationen im Überblick
L’UE a‑t-elle approuvé les vaccins contre le Covid‑19 sans contrôles adéquats ? | Euronews
[2] Vaccines and Related Biological Products Advisory Committee September 17, 2021 Meeting Briefing Document- FDA
[3] Les vaccins ARNm anti‑COVID peuvent induire le cancer de 17 manières distinctes selon plus de 100 études – Le Point Critique
COVID Vaccine Linked to Sharp Rise in Cancer, Italian Researchers Find
Rappelons que la RÉSOLUTION 2361 du PARLEMENT EUROPÉEN (27 janvier 2021) précise :
Article 7.3.1 « de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ; »
Article 7.3.2 « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner. »
- L’obligation vaccinale est contraire à la Déclaration universelle des droits de l’Homme : (article 3) « Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne. » Le 9 juillet 2002, la Cour européenne des droits de l’Homme a précisé que la vaccination obligatoire, en tant que traitement médical non volontaire, constituait une ingérence dans le droit au respect de la vie privée et familiale garanti par l’article 8 de la Convention européenne.
- L’obligation vaccinale est contredite par le Code civil : (article 94653 du 29 juillet 1994) selon « le principe du respect de l’intégrité du corps humain ».
- L’obligation vaccinale est en contradiction avec le Code de la santé publique : (article R4127-36) « Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas. Lorsque le malade, en état d’exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences. »
- Toute obligation vaccinale est contraire aux arrêts de la Cour du 25 février et du 10 octobre 1997, qui expliquent que « les praticiens doivent être en mesure de prouver qu’ils ont fourni au patient une information loyale, claire, appropriée et exhaustive, au moins sur les risques majeurs, et la plus complète possible sur les risques plus légers.
Cette information a pour but de permettre au patient de refuser la vaccination proposée en estimant que les risques sont supérieurs aux bénéfices escomptés ».
- Toute obligation est annulée d’office par la loi du 4 mars 2002 (loi Kouchner), article 11: « Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment. »
- Enfin, l’obligation vaccinale ne peut pas remettre en cause la scolarisation des enfants car, depuis la loi Jules-Ferry du 28 mars 1882, l’instruction est obligatoire pour tous les enfants et l’école doit les accueillir, qu’ils soient vaccinés ou non.
Des mesures absurdes et dangereuses
L’association Internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMSIB) illustre des arguments frappants contre l’obligation vaccinale antigrippale
Hélène Banoun (Pharmacien biologiste, PhD, ex-INSERM) dénonce cette initiative qu’elle attribue à la corruption, à la soumission ou à l’incompétence, rappelant que l’efficacité réelle de ces vaccins reste très faible et que leur justification scientifique ne résiste pas à l’analyse : Le vaccin grippe augmente le risque d’être infecté, augmente de 6 x l’excrétion du virus, n’empêche pas la transmission, ne protège pas contre l’infection, ne fait pas baisser le taux de mortalité ni les hospitalisations, n’a pas prouvé son efficacité.
Dans un contexte dominé par les intérêts financiers de l’industrie pharmaceutique, la classe politique continue de relayer des mesures absurdes et dangereuses. Après la vaccination anti-COVID imposée aux soignants, jugée inutile et risquée, une nouvelle idée refait surface : rendre la vaccination antigrippale obligatoire.
La grippe en onze rappels épidémiologiques fondamentaux
1- Rappelons que le vaccin grippe augmente le risque d’être infecté par le virus chez les professionnels de santé. (2)(3)
2- Selon une revue de la Cochrane de 2005, proposer la vaccination antigrippale aux personnes travaillant dans des établissements de soins aurait peu d’incidence sur le nombre de résidents qui contractent la grippe ou qui vont à l’hôpital pour une infection pulmonaire, par rapport à ceux vivant dans des établissements de soins où aucune vaccination n’est proposée. (4)
3- Les personnes vaccinées contre la grippe excrètent 6 fois plus de virus lorsqu’elles sont infectées et sont donc plus susceptibles de contaminer les autres que si elles étaient non vaccinées. (5)
4- La vaccination contre la grippe n’empêche pas la transmission du virus dans les familles, ne protège pas contre l’infection. Plus on vaccine, moins le vaccin est efficace. (6)
5- Selon une étude de 2005, il n’y a pas de corrélation entre l’augmentation de la couverture vaccinale et la baisse des taux de mortalité, et les études observationnelles surestiment considérablement les avantages de la vaccination. (7)
6- Selon une méta-analyse de 2012 de l’Institut Johns Hopkins, les preuves de l’efficacité du vaccin contre la grippe chez les plus de 65 ans font défaut (8)
7- Selon une étude de la Cochrane menée par Tom Jefferson en 2020, les données disponibles sont de mauvaise qualité et ne fournissent aucune indication sur la sécurité, l’efficacité ou l’efficience des vaccins contre la grippe chez les personnes âgées de 65 ans ou plus. (9)
8- Selon une étude de 2020, la vaccination contre la grippe ne réduit pas les hospitalisations ni la mortalité chez les plus de 65 ans. (10)
9- Chez les enfants, on a constaté une augmentation du risque d’infections respiratoires aigües causées par des agents pathogènes respiratoires non grippaux après la vaccination antigrippale, par rapport aux enfants non vaccinés pendant la même période. (11)(12)
10- Selon plusieurs articles de synthèse de la Cochrane, le vaccin contre la grippe n’a pas prouvé son efficacité chez les enfants, ni sur les personnes atteintes de BPCO ou de maladies cardio-vasculaires. (13)(14)(15)
L’avis des autorités
– Odile Launay, coordinatrice du CIC de Vaccinologie Cochin-Pasteur (APHP), reconnait en 2019 que le vaccin grippe est un pari renouvelé chaque année. (16)
– Agnès BUZYN reconnait en 2019 que le vaccin grippe est un pari renouvelé chaque année, et que son efficacité est très variable et imprévisible. (17)
– La HAS écrit en 2023 qu’étant donnée l’efficacité du vaccin grippe, le rendre obligatoire pour les soignants n’est pas approprié. Elle recommande d’autres mesures pour améliorer la CV des soignants. (18)
D’après une étude française, pour la saison 2024-2025, l’efficacité vaccinale était de 60% chez les 0-64 ans et de 22% chez les plus de 65 ans, plus faible que pour la saison précédente. L’efficacité est plus faible pour les souches de grippe A que de grippe B. Les calculs sont indirects (études cas-témoins) et considèrent une personne comme vaccinée seulement pour la période allant de 14 jours à 3 mois après l’injection. Lorsque l’on regarde la figure comparant les cas de grippe chez les plus de 65 ans vaccinés et non vaccinés, on se demande comment on arrive à 22% d’efficacité : les courbes sont identiques ! (19)
Vaccin antigrippal d’aujourd’hui et de demain
Une remarque sur les vaccins grippe qui sont classiques pour le moment, mais pas si classiques !
En effet depuis au moins 2009 les fabricants de vaccins cherchent à remplacer le processus de fabrication sur embryons de poulet, qui demande beaucoup d’œufs et qui fait muter le virus au cours de la fabrication. C’est d’ailleurs depuis cette époque qu’ils ont envisagé les vaccins géniques (ADN puis ARNm) ; et c’est pourquoi ils ont profité de la pandémie COVID pour lancer les ARNm en évitant les 10 ans de tests minimum nécessaires pour la mise sur le marché d’un vaccin (voir le livre de H2lène BaANOUN « La Science face au Pouvoir »).
Une autre option est la culture du virus sur cellule de rein de chien. Mais se pose alors un nouveau problème : ces cellules MDCK (Madin-Darby Canine Kidney) sont une lignée transformée qui peut provoquer des tumeurs et transférer son activité néoplasique aux vaccinés.
Des chercheurs essaient de trouver un moyen pour que ces cellules ne soient plus cancérigènes (MiR-2779-x, un microARN clé lié à la tumorigénicité de la lignée cellulaire MDCK) (20)
Pour l’instant, Flucelvax Tetra de Seqirus et Optaflu (trivalent) de Novartis sont les seuls vaccins grippe cultivés sur MDCK autorisés en France et en Europe…
Notes et sources
(1) https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/17/textes/l17b1722_proposition-loi#
(1 bis) https://www.lequotidiendupharmacien.fr/exercice-pro/politique-de-sante/obligation-pour-les-professionnels-de-sante-et-les-residents-dehpad-prise-en-charge-pour-tous-la
(2) Effectiveness of the Influenza Vaccine During the 2024-2025 Respiratory Viral Season, Nabin K. Shrestha, Patrick C. Burke, Amy S. Nowacki, Steven M. Gordon medRxiv 2025.01.30.25321421; https://doi.org/10.1101/2025.01.30.25321421
(3) Skowronski DM, De Serres G, Crowcroft NS, Janjua NZ, Boulianne N, Hottes TS, Rosella LC, Dickinson JA, Gilca R, Sethi P, Ouhoummane N, Willison DJ, Rouleau I, Petric M, Fonseca K, Drews SJ, Rebbapragada A, Charest H, Hamelin ME, Boivin G, Gardy JL, Li Y, Kwindt TL, Patrick DM, Brunham RC; Canadian SAVOIR Team. Association between the 2008-09 seasonal influenza vaccine and pandemic H1N1 illness during Spring-Summer 2009: four observational studies from Canada. PLoS Med. 2010 Apr 6;7(4):e1000258. doi: 10.1371/journal.pmed.1000258. PMID: 20386731; PMCID: PMC2850386. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20386731/
(4) Thomas RE, Jefferson T, Lasserson TJ, Earnshaw S. Influenza vaccination for healthcare workers who care for people aged 60 or older living in long-term care institutions. Cochrane Database of Systematic Reviews 2025, Issue 2. Art. No.: CD005187. DOI: 10.1002/14651858.CD005187.pub6 https://www.cochrane.org/fr/evidence/CD005187_flu-vaccination-healthcare-workers-who-care-people-aged-60-or-older-living-long-term-care
(5) Yan J, Grantham M, Pantelic J, Bueno de Mesquita PJ, Albert B, Liu F, Ehrman S, Milton DK; EMIT Consortium. Infectious virus in exhaled breath of symptomatic seasonal influenza cases from a college community. Proc Natl Acad Sci U S A. 2018 Jan 30;115(5):1081-1086. doi: 10.1073/pnas.1716561115. Epub 2018 Jan 18. PMID: 29348203; PMCID: PMC5798362. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29348203/
(6) Ohmit SE, Petrie JG, Malosh RE, Cowling BJ, Thompson MG, Shay DK, Monto AS. Influenza vaccine effectiveness in the community and the household. Clin Infect Dis. 2013 May;56(10):1363-9. doi: 10.1093/cid/cit060. Epub 2013 Feb 14. PMID: 23413420; PMCID: PMC3693492. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23413420/
(7) Simonsen L, Reichert TA, Viboud C, Blackwelder WC, Taylor RJ, Miller MA. Impact of Influenza Vaccination on Seasonal Mortality in the US Elderly Population. Arch Intern Med. 2005;165(3):265–272. doi:10.1001/archinte.165.3.265
(8) Osterholm MT, Kelley NS, Sommer A, Belongia EA. Efficacy and effectiveness of influenza vaccines: a systematic review and meta-analysis. Lancet Infect Dis. 2012 Jan;12(1):36-44. doi: 10.1016/S1473-3099(11)70295-X. Epub 2011 Oct 25. Erratum in: Lancet Infect Dis. 2012 Sep;12(9):655. PMID: 22032844. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22032844/
(9) Demicheli V, Jefferson T, Di Pietrantonj C, Ferroni E, Thorning S, Thomas RE, Rivetti A. Vaccines for preventing influenza in the elderly. Cochrane Database Syst Rev. 2018 Feb 1;2(2):CD004876. doi: 10.1002/14651858.CD004876.pub4. PMID: 29388197; PMCID: PMC6491101. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6491101/
(10) Anderson ML, Dobkin C, Gorry D. The Effect of Influenza Vaccination for the Elderly on Hospitalization and Mortality : An Observational Study With a Regression Discontinuity Design. Ann Intern Med. 2020 Apr 7;172(7):445-452. doi: 10.7326/M19-3075. Epub 2020 Mar 3. PMID: 32120383 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32120383/ .
(11) Rikin S, Jia H, Vargas CY, Castellanos de Belliard Y, Reed C, LaRussa P, Larson EL, Saiman L, Stockwell MS. Assessment of temporally-related acute respiratory illness following influenza vaccination. Vaccine. 2018 Apr 5;36(15):1958-1964. doi: 10.1016/j.vaccine.2018.02.105. Epub 2018 Mar 7. PMID: 29525279; PMCID: PMC7115556. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29525279/
(12) Cowling BJ, Fang VJ, Nishiura H, Chan KH, Ng S, Ip DK, Chiu SS, Leung GM, Peiris JS. Increased risk of noninfluenza respiratory virus infections associated with receipt of inactivated influenza vaccine. Clin Infect Dis. 2012 Jun;54(12):1778-83. doi: 10.1093/cid/cis307. Epub 2012 Mar 15. PMID: 22423139; PMCID: PMC3404712. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22423139/
(13) https://www.cochrane.org/fr/CD004879/ARI_les-vaccins-pour-la-prevention-de-la-grippe-chez-les-enfants-en-bonne-sante
(14) https://www.cochrane.org/fr/CD002733/AIRWAYS_le-vaccin-antigrippal-pour-les-personnes-atteintes-de-bronchopneumopathie-chronique-obstructive-bpco
(15) https://www.cochrane.org/fr/CD005050/VASC_les-vaccins-contre-la-grippe-pour-la-prevention-des-maladies-cardiovasculaires
(16) https://www.youtube.com/watch?v=Z8C3KkO3w6g
(17) https://www.leparisien.fr/societe/grippe-le-vaccin-est-moyennement-efficace-cette-annee-selon-buzyn-07-02-2019-8006319.php
(18) https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2023-7/actualisation_des_recommandations_et_obligations_vaccinales_des_professionnels_coqueluche_grippe_saisonniere_hepatite_a_roug.pdf
(19) Blanquart François, Vieillefond Vincent, Visseaux Benoit, Abou Chakra Claire Nour, Nunes Marta C, Jacques Alexandra, Haim-Boukobza Stephanie, Josset Laurence, Wehrle Valentin, Deleglise Guillaume, Duret Thomas, Rameix-Welti Marie Anne, Lina Bruno, Enouf Vincent, on behalf of the RELAB study group, Bal Antonin. Influenza vaccine effectiveness against detected infection in the community, France, October 2024 to February 2025. Euro Surveill. 2025;30(7):pii=2500074. https://doi.org/10.2807/1560-7917.ES.2025.30.7.2500074
(20) Yang D, Huang L, Shi J, Liu Z, Wang J, Ma Z, Abudureyimu A, Qiao Z, Chen J. MiR-2779-x, a key microRNA that is related to the tumorigenicity of the MDCK cell line. Biochim Biophys Acta Gen Subj. 2025 Jul 18;1869(10):130843. doi: 10.1016/j.bbagen.2025.130843. Epub ahead of print. PMID: 40685024. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/40685024/
Offensive sur le consentement libre et éclairé
Halte au risque d’une obligation injustifiée de vaccin antirougeole pour les soignants
Nouvelle folie : l’obligation vaccinale des soignants contre la rougeole
Par le dr G Delépine chirurgien oncologue statisticien
Source : https://docteur.nicoledelepine.fr/halte-au-risque-dune-obligation-injustifiee-de-vaccin-antirougeole-pour-les-soignants/
Le Projet de loi de financement de la Sécurité sociale comporte une obligation pour les professionnels de santé de se faire vacciner contre la grippe et la rougeole.
Ce projet est âprement défendu par nos dirigeants, le professeur Benjamin Davido qui prétend que la rougeole « reste un fardeau pour l’hôpital »[1] et que « l’immunité vaccinale de la rougeole, dure dans le temps. L’immunité est à vie » (ce qui est mensonger comme nous le rappellerons plus loin) ou le docteur R.Cohen qui affirme « au Maroc il y a eu 30000 cas et des centaines de morts »[2] (en réalité 20000 cas et 107 morts) agitant la peur de la maladie pour multiplier les vaccinations et oublie curieusement de préciser la bénignité de la rougeole en France.
Nous rappellerons les faits établis qui contredisent leurs affirmations et en particulier la bénignité de la maladie en France, la rareté de transmission soignants-malades, et les incertitudes des vaccins puis les liens d’intérêts des docteurs Davido et Cohen qui expliquent vraisemblablement leurs prises de position.
Sans compter qu’en l’absence de vaccin monovalent contre la rougeole c’est en réalité une triple vaccination que cette obligation entrainerait.
Dis-moi qui te paye et je te dirai qui tu es.
Dans tous les pays industrialisés, la rougeole est une maladie bénigne.
La rougeole est une maladie virale très contagieuse qui se propage facilement lorsqu’une personne infectée respire, tousse ou éternue. Elle est très fréquente chez les enfants. L’infectiosité du virus perdure environ une heure dans l’air, et deux heures sur les surfaces inertes. Les sujets infectés par le virus de la rougeole sont contagieux environ une semaine deux à trois jours avant l’apparition de l’éruption cutanée et jusqu’à quatre jours après
Les symptômes de la rougeole apparaissent habituellement 10 à 14 jours après l’exposition au virus, dominés par une forte fièvre, une toux, des yeux rouges et larmoyants, de petites taches blanches à l’intérieur des joues (signe de koplik) et une éruption cutanée rouge sur tout le corps. L’éruption à l’origine de son nom commence environ sept à 18 jours après l’exposition, habituellement sur le visage et le haut du cou. Elle s’étend pendant environ trois jours, pour atteindre les mains et les pieds et persiste cinq à six jours avant de disparaitre. Sa guérison confère une immunité à vie qui protège de toute récidive.
Contrairement à ce que racontent l’OMS, le ministère ou l’assurance maladie il s’agit d’une maladie qui est globalement bénigne dans les pays riches, et d’ailleurs jadis décrite dans nos cours de médecine comme l’une des « 5 éruptions bénignes de l’enfance ».
Lors de mes remplacements de médecin généraliste, en région parisienne, lorsque j’étais confronté à une poussée de rougeole je conseillais aux parents d’enfants atteints d’organiser une « rougeole partie » en invitant les amis du malade s’ils étaient indemnes de maladie chronique car après guérison de l’infection les enfants étaient protégés à vie contre la maladie. En plus de 45 ans d’exercice, je n’ai pas été atteint par la maladie ni vu un seul de mes patients confronté à des complications graves de la rougeole ce qui ne fait d’ailleurs que refléter les données officielles de notre pays.
En France la mortalité de la rougeole est quasi nulle chez les personnes saines
En France la rougeole est redevenue à déclaration obligatoire en juillet 2005 ce qui permet d’en mesurer précisément les risques.
Les otites et/ou les pneumonies fréquemment secondaires à une surinfection bactérienne ou par un Adénovirus sont les complications les moins rares. Il peut aussi s’observer, de manière très exceptionnelle, des encéphalites pouvant menacer la vie.
Sur une période de dix ans, d’octobre 2008 à septembre 2018, les données du CépiDc-Inserm et des décès enregistrés par la Déclaration Obligatoire ont comptabilisé 23 décès de rougeole soit une moyenne de 2,3 décès annuel. Pour 10 de ces personnes décédées[3], un terrain d’immunodépression a pu être retrouvé : 4 d’entre elles présentaient un déficit immunitaire et 6 suivaient un traitement immunosuppresseur. Parmi les 13 autres décès seulement 4 patients ne souffraient d’aucun antécédent particulier.
En 2019 d’après Santé Publique France[4] 2 636 cas de rougeole ont été déclarés et 2 décès sont survenus dans un contexte d’encéphalite subaiguë touchant deux jeunes adultes immunodéprimés. En 2020 d’après Santé Publique France aucun cas de rougeole mortel n’a été déclaré[5] comme en 2021 [6], 2022[7], 2023[8] et 2024. En 2025, deux décès de personnes immunodéprimées ont été rapportés.
Ainsi, en 17 ans (de 2008 à 2025) seulement 27 décès attribués à la rougeole ont été rapportés en France (1,5 par an) dont plus de la moitié chez des personnes immuno- déprimés. Ces chiffres officiels confirment la bénignité actuelle de la maladie dans notre pays.
Ce n’est pas la vaccination, mais l’amélioration des conditions de vie et des systèmes sanitaires qui ont fait chuter la mortalité de la rougeole.
Dans notre pays comme dans les autres pays riches, la mortalité de la rougeole a diminué considérablement bien avant la vaccination grâce à l’amélioration des conditions de vie et de prise en charge.

En France le nombre de morts avait diminué de 99% passant de 2532 en 1925 à 25 en 1966, date de mise sur le marché du vaccin. Le vaccin n’a été recommandé dans le calendrier vaccinal qu’au début des années 1980. Il a été rendu obligatoire pour les enfants en 2017 après que le premier ministre Edouard Philippe, dans son discours de politique générale ait affirmé « Des enfants meurent de la rougeole aujourd’hui en France ; dans la patrie de Pasteur, ce n’est pas admissible ». Pourtant, d’après Santé Publique France, aucun décès n’avait été enregistré cette année-là avant qu’E. Philippe ait prononcé son discours[9] mais seulement à l’automne suivant. Comme on ne peut pas imaginer qu’il ait menti volontairement aux députés, on peut penser qu’il n’avait pas pris le temps de vérifier le chiffre et c’est inquiétant pour sa crédibilité.
Aux USA aussi la mortalité par rougeole a très fortement diminué (de 98,6%) avant le début de la vaccination comme le montre la courbe suivante :

L’OMS et les autres propagandistes de la peur brandissent les « millions de morts de rougeole » mais précisent rarement qu’elles s’observaient jadis, sur des populations en sous nutrition sévère, carencées en vitamine A, dans des pays pauvres, sans système hospitalier efficace et sans antibiotiques et qu’elle a régressé considérablement, sans vaccin, lorsque les conditions de vie et la qualité du système sanitaire se sont améliorées.
Les soignants ne sont pas connus pour transmettre la rougeole
Les soignants non immunisés peuvent être contaminés par leurs malades atteints de rougeole; ils en guérissent sans séquelles. Ces professionnels de santé se mettent en arrêt de travail pendant leur période de contagiosité ce qui évite la transmission à d’autres patients.
Quelques épidémies d’infections nosocomiales de rougeole ont été décrites. Lorsqu’elles en précisent le mécanisme, il s’agit le plus souvent de contaminations à partir d’un enfant malade qui contamine autour de lui ceux qui attendent au urgences ou les hospitalisés de sa chambre. La revue de la littérature ne retrouve d’ailleurs pas de description documentée de contamination d’enfants ou d’adultes par des soignants.
Le vaccin contre la rougeole n’est pas très efficace
Comme pour le Covid le vaccin contre la rougeole est malheureusement loin d‘être aussi efficace que les laboratoires et les autorités le prétendent. Il n’existe pas d’essai clinique sérieux testant l’efficacité des vaccins contre la rougeole.
Du fait du réservoir strictement humain et de vaccins, ce virus dont un seul sérotype est connu serait théoriquement éradicable. C’était un des objectifs de l’Organisation Mondiale de la Santé pour 2010 mais l’efficacité insuffisante des vaccins actuels ne permet toujours pas de réaliser cet objectif.
L’échec vaccinal, connu depuis 1972, est marqué par le retour d’épidémies de rougeole malgré leur contrôle initial par la vaccination. Il peut être primaire, avec absence de séroconversion après deux doses vaccinales (observé dans 2 à 5% des cas). Mais il est surtout secondaire, lié au déclin de l’immunité post-vaccinale après une séroconversion initiale.
L’exemple des USA est démonstratif. Ce pays où le pourcentage de vaccinés dépasse les 90% est depuis l’an 2000 régulièrement présenté par l’OMS comme ayant éradiqué la rougeole. Mais des épidémies réapparaissent tous les 3 à 5 ans comme en 2014 (667 cas) en 2019 (695 cas au 23 avril) ou en 2025 (plus de 1000 cas et 2 morts). Près de la moitié des malades atteints avaient pourtant été correctement vaccinés, ce qui ne les empêchent pourtant pas de diffuser la maladie autour d’eux, comme lors du covid
Le CDC vient d’ailleurs de reconnaitre que les personnes injectées avant 1968 avec un vaccin élaboré à partir de virus tué n’étaient pas protégées[10].
En France, entre le 19 septembre et le 17 octobre 2023, dans la commune de Guilherand-Granges 59 cas de rougeole ont été diagnostiqués principalement chez des collégiens. En vérifiant les carnets de vaccination des élèves, il est apparu que les 11 non-vaccinés connus ont attrapé la rougeole et que parmi les autres collégiens contaminés, 32 avaient reçu les deux doses de vaccin censées pourtant leur offrir une protection efficace et durable contre le virus. Ainsi lors de cette poussée épidémique, les vaccinés représentaient 74 % des cas de rougeole diagnostiqués.
L’analyse d’une épidémie survenue dans un service de pédopsychiatrie de Nice[11] illustre la possibilité transmission du virus de la rougeole au sein d’une population totalement vaccinée. L’hypothèse constamment répétée par l’OMS et les autorités qu’un taux de 95% de vaccinés éradiquerait la rougeole se révèle donc très incertaine.
Globalement en 2023, d’après Santé Publique France[12], parmi les cas éligibles à la vaccination et avec un statut vaccinal renseigné 46% avaient reçu deux doses et 9 % étaient vaccinés avec 1 dose. Plus de la moitié des malades atteints de rougeole en souffrent malgré une vaccination à jour.
Alors pourquoi infliger aux soignants, comme lors du covid, une vaccination qui ne protège pas vraiment contre les transmissions ?
Les liens d’intérêts des experts sanitaires qui veulent rendre obligatoire une vaccination pour une maladie bénigne constituent certainement un motif qui explique leur militantisme. Rappelons-les.
Liens d’intérêts de Benjamin Davido
Sur transparence. santé. Gov [13] les 71 déclarations de Benjamin Davido pour la période janvier 2018 – juin 2025 occupent 8 pages.
60 d’entre elles précisent la valeur de ses gratifications comprises entre 35 et 770 euros. Mais les sommes perçues à l’occasion des conventions ne sont pas renseignées; d’après les déclarations d’autres médecins elles peuvent être estimées, entre 1500 et 10000 euros chacune. On peut ainsi affirmer que le Pr Davido est très lié à l’industrie pharmaceutique.
Les liens d’intérêts du docteur R. Cohen
Le Dr COHEN est pédiatre. Il coordonne le réseau INFOVAC (avec Claire-Anne SIEGRIST, titulaire de la Chaire de vaccinologie de l’Université de Genève, financée par la fondation Mérieux.
D’après EurosForDocs le Dr Robert COHEN[14] a fait 200 déclarations de 2012 à 2018 pour un montant total de 57 730 € (dont 23 380 € d’avantages et 32 350 € de rémunération) + 60 contrats sans montants déclarés.
Et pour son association ACTIV : 58 déclarations de 2012 à 2018 pour un montant total de 748 520 € (dont 601 920 € par Sanofi et 126 600 € par GSK) sans compter 14 contrats sans montants déclarés
- Cohen a été condamné en 2017 par le conseil de l’ordre d’un avertissement pour avoir omis, lors d’interventions télévisées ou radiophoniques, de signaler ses liens financiers avec des laboratoires pharmaceutiques.
Selon Agnès Buzyn, qui considère que les liens d’intérêt entre experts et laboratoires pharmaceutiques sont gages de compétence, les docteurs Davido et Cohen sont très compétents. Mais on peut aussi craindre que leurs liens d’intérêts expliquent leurs constantes déclarations en faveur des marchands de vaccins et leur instrumentalisation de l’état de santé médiocre des pays pauvres pour justifier les vaccinations dans les pays riches.
L’absence de tout lien d’intérêt des experts sanitaires avec l’industrie pharmaceutique constitue la condition indispensable pour que la population retrouve confiance en la parole publique concernant la santé.
Le ministre américain de la santé Kennedy R Jr s’efforce d’éliminer des agences sanitaires les experts trop liés à big pharma. Il faut espérer que les responsables européens et français suivront bientôt son exemple.
Le projet de loi veut en réalité imposer 4 vaccins aux soignants
Le projet de loi concerne officiellement la grippe et la rougeole. Mais comme Il n’existe actuellement pas de vaccin monovalent contre la rougeole en France, on ne dispose que de vaccins combinés avec le vaccin contre la rubéole et le vaccin contre les oreillons (ROR).
Comme tout traitement actif, ce triple vaccin expose à des complications; la plupart sont bénignes et transitoires : forte fièvre post-vaccinale, éruption cutanée ou gonflement léger, douleurs articulaires temporaires en particulier chez les femmes adolescentes et adultes. Une baisse du nombre des plaquettes[15] (thrombocytopénie) susceptible d’entraîner des ecchymoses et des saignements est rare. Les réactions allergiques graves (anaphylaxie) extrêmement rares nécessitent une attention médicale immédiate.
La quadruple vaccination grippe, rougeole, rubéole et oreillons des soignants ne correspond pas à un besoin sanitaire. Les soignants en sont conscients et c’est pour cela qu’ils la refusent dans leur très grande majorité (85%). Leur imposer par la loi montre que les fonctionnaires s’estiment plus compétents que les médecins et infirmiers, et ne peut que détourner un peu plus les apprentis médecins et soignants de leur vocation et pousser ceux qui travaillent à la démission.
Ce projet de loi va aggraver les déserts médicaux
L’obligation du vaccin covid chez les soignants a suscité la défiance de ceux -ci envers leurs autorités et entraîné de nombreuses exclusions et démissions. Alors que le manque de médecins est de plus en plus dramatique avec des déserts médicaux qui se multiplient et des urgences qui fonctionnent de plus en plus mal (ou qui ferment) cette obligation ne peut qu’aggraver la situation dramatique de notre système de santé.
Mais apparemment les désirs du lobby de l’industrie pharmaceutique pour toujours plus d’obligations vaccinales, même injustifiées, passe avant l’intérêt des malades.
[1] https://www.votre-actualite.com/sante/vaccination/obligation-de-vaccination-contre-la-rougeole-pour-les-soignants/
[2] https://www.franceinfo.fr/sante/maladie/recrudescence-de-la-rougeole-il-n-y-a-pas-de-maladie-plus-contagieuse-c-est-tres-inquietant-s-alarme-un-pediatre_7123155.html
[3] https://www.santepubliquefrance.fr/les-actualites/2021/rougeole-donnees-annuelles-2020
[4] https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-a-prevention-vaccinale/rougeole/documents/bulletin-national/bulletin-epidemiologique-rougeole.-donnees-de-surveillance-2019
[5] https://www.revuebiologiemedicale.fr/images/Infos_bio/350_ROUGEOLE_BEH_BD.pdf
[6] https://www.santepubliquefrance.fr/les-actualites/2022/rougeole-en-france-donnees-annuelles-2021
[7] www.santepubliquefrance.fr › content › downloadBulletin épidémiologique rougeole. Données de surveillance 2022.
[8] https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-a-prevention-vaccinale/rougeole/documents/bulletin-national/rougeole-en-france.-bilan-annuel-2023
[9] Epidémie de rougeole en France – Données au 15 juin 2017. www.santepubliquefrance.fr › content › download
[10] https://rvh-synergie.org/actualites/les-etats-unis-ont-pres-de-900-cas-de-rougeole-et-10-etats-ont-des-epidemies-actives-voici-ce-quil-faut-savoir/
[11] Camille Brazier Transmission de la rougeole dans une cohorte fermée entièrement vaccinée https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02320058v1
[12] Rougeole en France. Bilan annuel 2023. Publié le 3 avril 2024 Mis à jour le 8 avril 2024
[13] https://transparence.sante.gouv.fr/pages/infosbeneficiaires/?refine.id_beneficiaire=25178
[14] N° identifiant du Dr R. Cohen : 10001217339
[15] Global and regional burden of vaccine-induced thrombotic thrombocytopenia, 1969-2023: Eur J Haematol 2024 Oct;113(4):426-440.30 octobre 2025Etiquettes :désert médical, liens d’intérêt, médecins, rougeole, soignants, vaccin
Les vaccins ARNm anti-COVID peuvent induire le cancer de 17 manières distinctes selon plus de 100 études
Une partie de la communauté scientifique a alerté il y a plus de quatre ans sur les risques de cancer associés aux injections à ARNm contre le COVID. Les données de la littérature suggèrent aujourd’hui qu’elles auraient la capacité d’induire, d’accélérer ou de réveiller des cancers de 17 manières différentes.
Source : https://lepointcritique.fr/2025/06/19/vaccins-arnm-anti-covid-peuvent-induire-cancer-de-17-manieres-distinctes-selon-plus-de-100-etudes/
La vaccination de masse contre le COVID est-elle à l’origine d’une explosion des cas de cancers comme l’affirment de nombreux scientifiques, dont certains l’avaient prophétisée dès mai 2021 ? Un collectif d’oncologues français a publié il y a deux ans une tribune, réfutant catégoriquement cette hypothèse : « À ce jour, aucun lien d’alerte n’a été publié entre une incidence accrue ou un risque de progression rapide de cancer après vaccination anti-COVID-19 ou après une autre vaccination. » Ils affirment aujourd’hui être confrontés à un tsunami de cancers fulgurants, en particulier chez les jeunes, auquel ils disent ne trouver aucune explication rationnelle :
On a une augmentation foudroyante du cancer du pancréas sans qu’on ait la moindre idée de la raison. Il s’est passé quelque chose ? On ne sait pas. Le monde entier, toute la cancérologie mondiale se pose la question. […] Le système qui nous permet de comprendre le cancer est mis en défaut.Pr Khayat, cofondateur de l’InCA
Si le Pr Khayat est cohérent, il ne peut théoriquement pas exclure que la vaccination puisse être à l’origine de cette explosion des cas de cancer puisque celle-ci est (1) extrêmement récente si l’on se réfère à ses précédentes interventions, (2) elle touche l’ensemble de la planète – en particulier les populations qui ont été contraintes de s’injecter pour conserver une vie sociale ou qui ont fait une promotion agressive de la vaccination (les influenceurs notamment) –, et (3) elle semble répondre à une logique inédite. Comme le ferait une substance utilisée pour la première fois chez l’homme, dont on ne connaît qu’une partie de la composition et dont l’impact sur le cancer n’a pas été évalué avant son déploiement massif[1].
L’épidémiologiste Nicolas Huscher a répertorié en mars dernier 10 manières dont les injections à ARN messager anti-COVID peuvent provoquer le cancer. Cette liste, issue d’une étude[2] publiée en décembre 2023 dans la revue Cureus peut selon nous être aujourd’hui étendue à 17 items sur la base (non exhaustive) de plus de 100 études.
1. Instabilité du génome
Le risque d’une intégration de l’ARN vaccinal dans le génome des personnes vaccinées a été confirmé en 2021 par une série d’études[3],[4],[5]. La mutagenèse insertionnelle induite par l’intégration de l’ADN provoque des mutations de décalage de trame (frameshift) qui induisent la production de protéines aberrantes conduisant au cancer.
L’Agence européenne des médicaments affirme toujours que l’ARNm vaccinal ne peut pas pénétrer le noyau des cellules, cette intégration supposant le recours à une enzyme (transcriptase inverse) qui serait, selon elle, absente des cellules humaines. Or cette affirmation, qui ne repose sur aucune preuve, a été infirmée en juin 2021. Ce phénomène a été observé en juillet 2023 chez des souris, où une seule injection d’ARNm a permis d’induire une modification génétique[6]. Plus récemment, de la protéine Spike vaccinale a été retrouvée dans des tumeurs de patients vaccinés[7], ce qui suggère qu’il peut s’intégrer dans le génome, la première conséquence redoutée d’une telle intégration étant le développement d’un cancer.
Cette hypothèse a été relancée mi-avril par les scientifiques d’un laboratoire de recherche biomoléculaire (Neo7Bioscience) et des chercheurs de l’Université du Nord-Texas[8]. Les données moléculaires qu’ils ont recueillies suggèrent que l’ARN dérivé du vaccin pourrait être rétrotranscrit dans le génome de l’hôte, modifiant de manière permanente la régulation des gènes. Elles révèlent également des signes cancérigènes et un effondrement immunitaire.
2. Évasion immunitaire
La protéine Spike (S2) inhibe plusieurs gènes suppresseurs de tumeurs (p53, BRCA1/2, RB1)[9],[10],[11], auxquels elle se lie, permettant aux cellules cancéreuses d’échapper à leur détection et à leur destruction par le système immunitaire. L’épidémiologiste Nicolas Hulscher parle d’un « retournement oncogène ».
La première étude démontrant cette interférence de la protéine Spike avec la protéine p53, également appelée « gardienne du génome » a été publiée en octobre 2021[12] par Jiang et al. L’étude a été rétractée en mai 2022 sur ordre du NIH d’Anthony Fauci. Une demande de publication des échanges de mails concernant cette rétraction a été déposée dans le cadre de la loi d’accès à l’information, mais le NIH refuse toujours de communiquer les 490 pages de communications. Ces résultats ont été confirmés in vitro par Zhang et El Deiry[13] en 2024 et un mois plus tard in vivo[14].
3. Mécanisme de réparation de l’ADN altéré
La protéine Spike vaccinale induit des altérations génomiques et inhibe le système de réparation de l’ADN (Jiang, Zhang et El Deiry). Ce mécanisme se met normalement en place en cas d’agression de l’organisme, pour prévenir des mutations qui peuvent favoriser l’apparition de cancers, réparer des erreurs affectant les oncogènes ou les gènes suppresseurs de tumeurs.Son altération induit une immunodéficience qui est « une voie directe vers le cancer[15] ».
La séquence stratégique de la protéine Spike brevetée en 2016 par Stéphane Bancel, le PDG de Moderna, permettrait de cibler un gène (MSH3)[16] dont la modification entraîne un déficit de la réparation de l’ADN[17]. Les voies par lesquelles la protéine Spike inhibe ce mécanisme sont répertoriées dans l’article de Başaran et al.[18] publié en avril dernier.
4. Inflammation chronique
Les nanoparticules lipidiques[19],[20] servant au transport de l’ARNm vaccinal induisent une sécrétion massive de protéines inflammatoires[21],[22],[23],[24] (tempête cytokinique) ouvrant la voie à l’émergence de cellules souches cancéreuses. Ces cellules sont susceptibles de se développer dans l’ensemble des organes (y compris les cellules souches sanguines[25]) compte tenu de la biodistribution généralisée de la protéine Spike[26],[27], dont la pathogénicité est décrite de manière détaillée dans trois revues de la littérature[28],[29],[30] et dans plus de 320 études. Cette inflammation peut résulter en un épuisement des cellules T, qui ne sont alors plus en mesure d’éliminer les cellules cancéreuses.
L’IA Grok confirme que les injections sont à l’origine d’une inflammation aiguë, mais qui se résoudrait en quelques jours (Bergamaschi, Ogata) et qui serait comparable à celle d’autres vaccins. Il précise qu’une inflammation chronique nécessite une stimulation prolongée, alors que « la production de Spike vaccinale est limitée dans le temps (l’ARNm est dégradé en quelques jours, la Spike en quelques semaines), rendant improbable une inflammation chronique ». Cette affirmation est contredite par une série d’études[31], notamment quatre études récentes où la protéine Spike a été retrouvée dans le plasma sanguin jusqu’à 709 jours après une injection[32] (245 jours[33] ou 12 mois[34] selon d’autres études), et jusqu’à 17 mois[35] dans les tissus et les organes de patientes japonaises, en particulier le cerveau. Plus de quatre ans après les premières injections, personne ne sait en réalité si le corps s’arrête de la produire.
5. Dysrégulation du système immunitaire
La vaccination ARNm entraîne une suppression des cellules T (lymphopénie)[36] et des réponses à l’interféron de type I[37], qui joue un rôle crucial dans la surveillance et la prolifération du cancer. Ces modifications conduisent à une altération de l’immunité innée[38],[39],[40],[41] et à une reprogrammation de la réponse immunitaire adaptative[42],[43]. Une dérégulation du système immunitaire dans le système nerveux central a également été rapportée[44].
Dans le cadre de la vaccination contre la COVID-19, cette inhibition garantit une synthèse appropriée des protéines de pointe et une activation immunitaire réduite. Il est prouvé que l’ajout de 100 % de N1-méthyl-pseudouridine (m1′) au vaccin à l’ARNm dans un modèle de mélanome a stimulé la croissance du cancer et les métastases, tandis que les vaccins sans modification de l’ARNm n’ont pas été induits par des résultats opposés, suggérant ainsi que les vaccins à l’ARNm COVID-19 pourraient aider le développement du cancer.Rubio-Casillas et al. Review: N1-methyl-pseudouridine (m1Ψ) : Friend or foe of cancer? https://doi.org/10.1016/j.ijbiomac.2024.131427.
Grok cite une étude de 2020[45], réalisée par Ugur Sahin, le CEO de BioNTech, qui soutient que les vaccins à ARNm induisent des réponses robustes des cellules T CD4+ et CD8+ persistantes, détectées dès les premiers jours post-vaccination, ce qui contredirait l’idée d’une immunosuppression générale et durable. Les propres données cliniques de Pfizer démontrent au contraire une diminution des lymphocytes T de 6 à 8 jours après la vaccination chez 45 % à 46 % des participants[46] dont on sait aujourd’hui qu’elle s’aggrave dans le temps.
6. Perturbation de l’ARN
L’ARNm vaccinal est un ARNm modifié dans le but d’accroître sa longévité et sa production. La technique utilisée par Pfizer et Moderna (optimisation des codons) perturbe les microARN, qui sont des acteurs essentiels de la prolifération et de la mort cellulaire, notamment des cellules cancéreuses[47],[48]. Une étude a montré en 2021[49] que la protéine Spike vaccinale est transportée dans des vésicules (exosomes) contenant des microARN grâce auxquels elle va empêcher le fonctionnement des interférons et donc inhiber l’immunité naturelle, en perturbant les processus cellulaires comme la prolifération ou la surveillance des tumeurs.
7. Activation de voies oncogènes
La protéine Spike est soupçonnée d’activer indirectement plusieurs voies qui jouent un rôle crucial dans la croissance tumorale, la prolifération et la survie cellulaire (MAPK, PI3K/AKT/mTOR[50],[51],[52]), et d’augmenter le niveau de l’interleukine 6 (IL-6), un marqueur proinflammatoire impliqué dans l’immunité, l’inflammation, la progression des tumeurs et des métastases, ou encore la résistance à l’immunothérapie. Son élévation chronique est associée à une inflammation susceptible de favoriser le cancer dans certains contextes.
Grok précise là encore qu’aucune étude n’établit formellement de lien entre ces perturbations et le cancer, mais une étude récente[53] a retrouvé des preuves métaboliques d’une activation de certaines voies oncogènes, dont la voie PI3K/mTOR chez des patients ayant développé une leucémie dans les semaines suivant une deuxième ou troisième injection Pfizer.
8. Microenvironnement tumoral
Les nanoparticules lipidiques (NPL) s’accumulent dans les tissus via l’effet Enhanced Permeability and Retention (EPR), qui se caractérise par une perméabilité accrue des vaisseaux sanguins tumoraux et une rétention prolongée des nanoparticules dans le tissu tumoral. Les NPL provoquent ainsi une propagation plus rapide des cellules cancéreuses[54][55]pouvant expliquer le phénomène de « turbo cancer » décrit par les pathologistes et les oncologues et observé dans une étude portant sur des souris[56]. Une telle accélération d’un processus pathogène est-elle valable pour d’autres maladies induites par la protéine Spike ? Des chercheurs suédois ont en effet démontré en 2023 que la protéine Spike pouvait non seulement induire la maladie d’Alzheimer mais qu’elle diminuerait le temps d’incubation de la maladie de 80 %[57], provoquant ainsi une forme inédite de « turbo maladie d’Alzheimer ».
9. Réveil des cancers dormants
Les modifications induites dans le microenvironnement tumoral par l’inflammation associée au COVID-19 ou la vaccination peuvent affecter le réveil du cancer et la rechute métastatique[58].
Des patients qui n’avaient plus de cancer depuis de nombreuses années font soudainement une rechute avec des cancers agressifs et explosifs peu après avoir reçu des doses de rappel du vaccin contre la COVID-19. Ces cas montrent une croissance tumorale très rapide après l’administration du rappel. Ces cancers turbo apparaissent plus rapidement et avec une virulence plus importante que ce à quoi nous nous attendions chez les patients, même ceux qui étaient stables depuis des années. Les autorités de santé publique sont réticentes à reconnaître cette corrélation. Ce phénomène se produit partout dans le monde où les vaccins à ARNm ont été administrés.Pr Ian Brighthope. Le grand débat : Port Hedland contre le Premier ministre. 29 Nov. 2024
La capacité de la protéine Spike du SRAS-CoV-2 à fusionner plusieurs cellules[59],[60],[61] permettrait d’expliquer la cascade de complications du COVID-19, dont le cancer. La formation de syncytia résultant de cette fusion pourrait en effet contribuer au développement ou à la progression du cancer, en particulier en cas de lésion préexistante, mais également à la formation de métastases et à la récidive des cancers en rémission, selon un ancien professeur de l’université de Yale, Yuri Lazebni[62].
Précision, l’ivermectine, dont l’efficacité contre le COVID-19 est confirmée à ce jour par plus de 100 études, possède de nombreux effets antitumoraux[63] (inhibition des cellules souches tumorales, de la prolifération, des métastases et de l’activité angiogénique, accélération de la mort programmée des cellules cancéreuses, inversion de la multirésistance aux médicaments), dont sa capacité à inhiber la formation de syncytia induite lors de la fusion cellulaire médiée par la protéine Spike[64]. L’ivermectine, nobélisée en 2006, présente un niveau de sécurité exceptionnel, y compris chez les enfants et les femmes enceintes, ce qui en fait une molécule essentielle selon l’OMS. Pourquoi n’a-t-elle pas été autorisée alors que l’on ne savait rien de l’efficacité, de la sécurité et du potentiel cancérigène des injections ARNm ? La question devra tôt ou tard être posée.
10. Altération de la surveillance immunitaire
L’ARNm modifié rend les cellules tumorales « invisibles » en bloquant l’activation des récepteurs de première ligne du système immunitaire (récepteurs de type Toll, ou TLR).
Karikó et Weissman, les deux chercheurs à l’origine du vaccin anti-COVID de Pfizer, expliquaient en 2005[65] que la modification synthétique de l’ARN par l’ajout de m1Ψ (pour laquelle ils ont obtenu le prix Nobel de médecine), supprimait partiellement ce bouclier en bloquant la capacité de l’ARN naturel à activer les cellules dendritiques primaires. Or l’une des fonctions de ces cellules est de reconnaître ou de « signaler » les agents pathogènes, en particulier les cellules cancéreuses, et d’induire une réponse immunitaire ciblée.
Ces résultats ont été confirmés en 2015[66] et 2016[67]. L’étude de 2016 démontre par ailleurs que l’utilisation d’ARNm synthétique n’est pas plus performante que l’ARN naturel alors qu’elle en augmente la toxicité (élévation des cytokines, neutrophilie), notamment en activant les cellules myéloïdes dans le sang et la rate, ce qui peut refléter un processus cancérigène.
Une étude de 2021[68] confirme que les récepteurs de type Toll peuvent agir comme une arme à double tranchant et « améliorer la pathologie » qu’ils sont censés prévenir lorsque les réponses TLR sont dysrégulées.
11. Décalage de cadre (frameshift)
L’ARNm modifié des vaccins Pfizer et Moderna produit une réponse immunitaire aberrante lorsqu’il est traduit. Dans un tiers des cas, l’ARNm vaccinal produit une protéine « absurde » ou inconnue, autre que la protéine Spike pour laquelle il est programmé. L’étude[69] a été publiée en janvier 2024. Les auteurs conviennent que si ces erreurs de traduction ne sont pas résolues avec la prochaine génération de vaccins COVID-19, elles poseront un problème de sécurité majeur. Ils estiment toutefois que cette découverte ne remet pas en cause la sécurité de la technologie. Une autre équipe de chercheurs[70] a émis un diagnostic beaucoup plus sévère en juin dernier sur cette défaillance majeure de la plateforme ARNm :
les ARNm modifiés […] ne sont pas utilisables en clinique en raison de leur nature durable, potentiellement permanente et immunostimulante. […] La nature persistante de l’ARNm codant pour la protéine Spike du SARS-CoV-2 entraîne une exposition dangereusement longue à une dose illimitée de cette protéine pathogène, et doit donc être réévaluée pour une utilisation continue chez l’homme.
12. Injections multiples
Les expositions répétées à l’ARNm synthétique et la Spike vaccinale entraînent un épuisement du système immunitaire[71]. Cette immunosuppression, qui s’explique probablement par l’optimisation des codons et par le mécanisme de facilitation dépendante des anticorps (ADE)[72],[73], suspecté dès les essais cliniques, est marquée par un changement de classe des anticorps (IgG4)[74],[75],[76] aujourd’hui massivement documenté. Cette modification catastrophique de la réponse immunitaire, non observée après une vaccination hétérologue ou avec des vaccins ADN (Irrgang), entraîne une tolérance immunitaire (les agents pathogènes cessent d’être reconnus comme tels) qui favorise les réinfections[77],[78] et la susceptibilité au cancer[79],[80],[81],[82],[83]. Précisons qu’à ce jour, la fondation Peter McCullough a recensé au moins 7 études[84],[85],[86],[87],[88],[89],[90] démontrant l’efficacité négative des injections.
13. Contamination ADN des vaccins Pfizer et Moderna
Les vaccins Pfizer et Moderna contiennent de l’ADN plasmidique frauduleux[91],[92],[93],[94], dont la forme (double brin circulaire) le rend « compétent pour la réplication », ce qui signifie qu’il peut théoriquement s’intégrer au génome, et donc induire le cancer chez les vaccinés. Nous avons écrit de nombreux articles sur cette découverte, confirmée à ce jour par dix équipes de chercheurs[95] dans le monde, la dernière en date étant une généticienne moléculaire (Dr Soňa Peková)[96] mandatée par le gouvernement slovaque. Les quantités rapportées sont vertigineuses, puisqu’elles atteignent jusqu’à 500 fois le plafond fixé par l’Agence européenne des médicaments, ce qui implique que l’intégration dans le génome peut se faire spontanément, maximisant le risque de cancer.
14. Séquences ADN de SV40 oncogène dans l’injection Pfizer
L’ajout de séquences stratégiques de SV40, utilisées en génétique pour « hacker » le noyau cellulaire[97], décuple la capacité de l’ARNm à s’intéger dans le génome.
Son utilisation, prohibée par la FDA, a finalement été concédée par Pfizer, mais le laboratoire soutient qu’elle ne présente aucun risque sanitaire. Sa cancérogénicité, déjà abondamment documentée, a pourtant été confirmée en octobre dernier par une étude publiée dans le New England Journal of Medicine[98]. La possibilité qu’il puisse entraîner des cancers est par ailleurs suggérée par une étude[99] récente impliquant des sujets vaccinés Pfizer et Moderna, où des antigènes tumoraux ont été retrouvés exclusivement dans le sang des vaccinés Pfizer.
Selon le Dr McKernan, à l’origine de cette découverte, l’ensemble des vaccins Pfizer (adultes, pédiatriques, monovalents, bivalents) seraient concernés par cette fraude dont l’origine est attribuée au changement de méthode[100] de production effectué après l’homologation des injections pour répondre aux contraintes industrielles liées au contexte pandémique. Le Pr Angus Dalgleish, l’un des oncologues les plus éminents au monde, a rappelé dans ce contexte que le SV40 est la substance que les chercheurs en cancérologie injectent aux souris pour induire un cancer lorsqu’ils veulent tester une chimiothérapie. Le laboratoire Pfizer, qui occupe désormais une position de quasi-monopole sur le marché des traitements anticancéreux pouvait-il l’ignorer ? Non, et il n’a pas modifié sa formule malgré l’effondrement de la demande de vaccins.
15. Dérégulation du système rénine-angiotensine (SRA)
La protéine Spike vaccinale entraîne la suractivation d’un récepteur clé (AT1R) du système rénine-angiotensine, qui commande notamment la multiplication des cellules. Cette suractivation favorise la vascularisation, et donc la prolifération des tumeurs, et engendre un stress oxydant délétère pour les cellules. Le Dr Jean-Marc Sabatier[101] a alerté dès mars 2020 sur les conséquences de ce dérèglement physiologique, à l’origine d’un déséquilibre entre la réponse immunitaire innée et acquise, et dont il avait prophétisé qu’il risquait d’induire de nombreux cancers.
16. Destruction du microbiote
Les « vaccins » à ARNm détruisent les bifidobactéries présentes dans le microbiote (flore intestinale), qui joue un rôle clé dans la régulation du cancer et les réponses aux thérapies anticancer. Une étude révolutionnaire publiée par le Dr Sabine Hazan[102] a montré en 2022 que la vaccination ARNm contre le COVID décime les bifidobactéries présentes dans le microbiote intestinal, où cette perte a été observée chez les patients atteints de cancer invasif. L’impact délétère des injections sur le microbiote semble confirmé aujourd’hui par la découverte de protéine Spike dans une biopsie de tumeur de côlon chez un patient vacciné Pfizer.
17. Augmentation de la résistance aux traitements
La protéine Spike virale et potentiellement vaccinale prolonge la survie des cellules cancéreuses après une exposition à la chimiothérapie. Ce résultat a été mis en évidence en 2024 par S. Zhang et WS El-Deiry. Bien que les preuves se limitent à la protéine Spike virale, les auteurs estiment que cette perturbation de la réponse immunitaire, qui est étroitement corrélée à l’inhibition du gène p53 et à l’altération de la réponse aux dommages de l’ADN, peut être favorisée par les injections répétées, administrées sous forme de rappels, et par les quantités astronomiques de protéine Spike produite.
On pourrait ajouter à ce tableau catastrophique[103] la probable présence de gènes cachés dans les injections, dont personne ne peut prédire l’impact qu’ils pourraient avoir sur la santé. On ne peut malheureusement citer aucune preuve de l’innocuité des injections, dans la mesure où leur cancérogénicité n’a été évaluée dans aucun essai, et où aucune étude ne démontre, à notre connaissance, que les injections ne peuvent pas induire, réveiller ou accélérer un cancer.
Un essai clinique de grande ampleur lancé en 2021 en Australie se proposait de répondre à cette question. Il a été brutalement interrompu sans explication par les autorités australiennes, qui s’apprêtent à détruire illégalement les millions d’échantillons de tissus biologiques collectés à cette fin. Autre fait profondément troublant, plusieurs pays ont rapporté l’existence de lots Pfizer hautement toxiques suggérant que le laboratoire a développé des produits de trois niveaux de toxicité différents. Des clusters de cas de cancer se sont récemment déclarés dans plusieurs hôpitaux aux États-Unis et en Australie. Or le vaccin administré à l’une des infirmières concernées est précisément issu de l’un de ces lots à haut risque, qui correspond à celui où les plus importantes quantités d’ADN ont été retrouvées.
L’actuelle épidémie planétaire dont plus personne ne conteste la réalité a-t-elle été anticipée afin de tester la technologie sur laquelle l’industrie a massivement misé en dépit de son échec catastrophique[104] et dans laquelle elle a d’ores et déjà investi des sommes vertigineuses qui lui interdisent aujourd’hui de faire machine arrière ? C’est ce que pense le mari d’une infirmière, décédée d’un cancer quelques mois après avoir s’être fait vacciner pour ne pas perdre son emploi, et dont l’époux porte plainte pour empoisonnement avec préméditation.
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[7] Le Dr McKernan a fait cette découverte en analysant la biopsie du cancer du côlon d’une personne ayant reçu quatre injections d’ARNm de Pfizer. Le député et ancien ministre japonais Kazuhiro Haraguchi a déclaré publiquement fin mai que de la protéine Spike vaccinale avait également été retrouvée dans les cellules cancéreuses de son lymphome malin.
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[11] Selon Valdes Angues et al., « Les cancers associés aux mutations TP53 incluent le cancer du sein, les sarcomes des tissus osseux et mous, les tumeurs cérébrales et les carcinomes corticosurrénaliens. D’autres cancers moins fréquents incluent la leucémie, le cancer de l’estomac et le cancer colorectal. Les cancers associés à une altération de l’activité de BRCA1 comprennent le cancer du sein, de l’utérus et de l’ovaire chez les femmes, le cancer de la prostate et du sein chez les hommes, et une augmentation modeste du cancer du pancréas chez les hommes et les femmes. Les cancers les plus fréquemment rapportés avec des mutations BRCA2 incluent le pancréas, la prostate chez les hommes et le mélanome ».
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[104] Au delà de l’échec des injections anti-COVID, qui ont été homologuées sur la conviction des laboratoires qu’elles pourraient « probablement prévenir de nouvelles vagues pandémiques et ainsi réduire considérablement la mortalité due à la maladie » (p. 14 du rapport d’évaluation du vaccin Comirnaty de Pfizer/BioNTech), la généticienne Alexandra Henrion Caude rapporte qu’en l’espace de vingt ans, aucun des 70 essais cliniques où cette technologie a été testée, sur 17 maladies différentes, n’a franchi le stade de la phase 1-2 (Les Apprentis Sorciers, p. 84). Voire la présentation de son livre au Parlement européen, le 18 avril 2023 : https://www.youtube.com/watch?v=6HH5IyccJNk.
C’est une première en Europe. Par sa décision n°525 du 18 mars 2025, la Haute Cour de Cassation et de Justice (Roumanie) a ouvert la voie aux actions en justice pour les effets indésirables liés à la vaccination contre le COVID-19. Désormais, les plaignants peuvent non seulement attaquer les fabricants sur le fondement de la responsabilité des produits défectueux, mais aussi invoquer la responsabilité de l’État et du ministère de la Santé pour faute dans la gestion de la campagne vaccinale.
Dans une décision historique, la Haute Cour de Cassation et de Justice a jugé que la loi spéciale sur la responsabilité des produits défectueux n’exclut pas les recours fondés sur le droit commun. Les victimes d’effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID peuvent donc poursuivre à la fois les laboratoires et les autorités publiques impliquées dans la stratégie vaccinale.
Cette jurisprudence, fondée sur l’article 9 de la loi n°240/2004, confirme que la responsabilité du producteur n’écarte pas celle de l’État ou du ministère de la Santé en cas de faute, comme le non-retrait d’un lot défectueux.
L’affaire à l’origine concerne une femme victime d’une thrombose après vaccination, déboutée en première instance puis rétablie en appel. En rejetant les pourvois de l’État et du ministère, la Haute Cour a validé le raisonnement de la Cour d’appel de Cluj, estimant qu’une stratégie gouvernementale ne peut exonérer l’État de sa responsabilité potentielle.
Le dossier retourne devant le Tribunal de Sălaj pour examen au fond. Mais au-delà de ce cas, la décision crée un précédent majeur : les tribunaux devront désormais instruire les recours des victimes sans les écarter pour des motifs procéduraux, garantissant ainsi un véritable accès à la justice.
Un schéma de ‘pump-and-dump‘
Le Ministre Américain de la santé Robert F. Kennedy Jr a expliqué devant les caméras comment Bill Gates a eu la prévoyance d’acheter plus d’un million d’actions de BioNTech avant que la COVID ne survienne : « La même semaine, Bill Gates, qui supervisait la simulation a acheté 1,1 million d’actions du vaccin BioNTech qui est ensuite devenu le vaccin Pfizer. Il a ensuite vendu presque toutes ces actions deux ans plus tard avec un bénéfice de 242 000 000 $.
Et une semaine après, il a annoncé que le vaccin ne fonctionnait pas.
C’est ce qu’on appelle un schéma de ‘pump-and-dump’. », en français une manipulation de marché illégale qui consiste à gonfler artificiellement le prix, puis vendre massivement pour réaliser un profit rapide, et après la vente le prix s’effondre.
Les « turbocancer » sont des cancers « très agressifs » ou « fulgurants » survenant après la vaccination ARNm. Ils apparaîtraient rapidement et en phase évolutive très rapide, parfois chez des personnes sans signe préalable visible.
Le 5 août 2021, l’abrogation de la loi sur l’obligation vaccinale du Covid a été publiée par l’Assemblée Nationale par 157 voix, contre 137.
Le 11 juillet 2025, une « Proposition de loi » n°1722 est déposée à l’Assemblée nationale vise « à rétablir l’obligation de vaccination contre la grippe pour les professionnels de santé et à permettre son remboursement pour tous ». Cette proposition de loi est présentée par les députés suivants : Mme Agnès FIRMIN LE BODO (Horizons), Mme Lise MAGNIER (Lise MAGNIER), Mme Anne LE HÉNANFF (Horizons – contre laquelle je me présente dans la 1ère circonscription du Morbihan), M. Bertrand BOUYX (Horizonz), M. Xavier ALBERTINI (Horizons) ».


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